6:
Faust Arp: Une guitare classique, Thom qui déballe des paroles un peu comme dans a wolf at the door. Très vite arrivent les cordes (ou alors les ondes martenot? je ne saurais pas faire la différence là). C'est gentillet et très réussit. Je plussois ce morceau malheureusement il ne dure que 2:10. J'aurais bien aimé qu'il dure plus longtemps et nous amène encore plus loin.. tant pis
7:
Reckoner: Non non c'est pas du noir désir contrairement à ce qu'on pourrait penser en écoutant le premier riff qui nous enivre rapidement appuyé par un piano, les voix de Thom et Ed travaillant en duo une bonne partie du morceau. C'est beau, c'est joli ça donne envie de pleurer. La première moitié ils chantent ensemble, la seconde Ed s'occupe des faire des chœurs (avec quelques overdubs) alors que Jonny ramène ses nappes par dessus et le morceau repart comme sur la première moitié.
8:
House of Cards: Je sais pas comment caractériser ce morceau... le tout est simple mais s'accorde très bien. C'est assez léger également. On distingue par moment un instrument bizarre sans doute joué avec un archet (ou encore un coup de Jonny allez savoir...). Un morceau qui passe bien mais pas exceptionnel.
9:
Jigsaw Falling Into Place: Phil (pas collins) le batteur annonce très bien le morceau avec sa rythmique assez rapide. Quelques sons à la voix doublé par des choeurs/cordes/??? avec une guitare acoustique qui rend l'ensemble assez entrainant.
10:
Videotape: Là on sent la référence à How I Made my Millions dont j'ai parlé dans le post précédent. Du piano, un fond de basse et Thom qui chante. la batterie entre timidement tout au long du morceau et Ed' assure à nouveaux les choeurs. A un moment, ça part légèrement en cacahouète tout en restant maitrisé pour poser un fond sonore sur le morceau. Oh on sent une pointe d'electro dans la rythmique. On avait presque oublié les autres albums ...
Pour conclure sur cet album: C'est différent mais c'est pareil.
Ça reste le son radiohead (même producteur une fois de plus : Nigel Godrich, les ondes martenot de Jonny, la batterie de Phil, les choeurs de Ed, la basse Colin (dont je n'ai pas beaucoup parlé mais qui est bien présente et toujours indispensable) tout ces ingrédients font clignoter en gros et en rouge RADIOHEAD).
Par contre c'est différent. Dans les album précédent on a sentit le groupe presque abandonner les riffs guitares pour mieux y revenir après avoir posé son côté electro. Non cet album n'est pas electro. Mais il y en a de petites touches dispersées dans les chansons. C'est globalement plus léger et moins torturé (dommage, moi je préfère torturé)
Mon regret? Certains morceaux sont trop courts et auraient pu donner naissance a quelque chose de plus poussé (aller jusqu'au bout de l'idée du morceau, etc ...). D'autres sont un peu moins convaincants mais plus on écoute et plus on apprécie l'album. Cet avis n'est donc qu'une empreinte d'un long cheminement pavé d'écoutes en boucle.
J'aurais voulu avoir un autre morceau free jazz à la Life in a Glasshouse ou The National Anthem. J'aurais voulu plus de tristesse à la Pyramid Song ou How to Disappear Completely.
Pourtant j'apprécie l'album (sans en être grand fan pour le moment mais ça viendra surement et là ma monomanie est portée sur the Mars Volta donc on verra plus tard).
En attendant concerts et albums...
Thursday, October 11, 2007
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment